Jah No Allie Sensibilisation et Vibration Rasta

1
Jah No Allie Sensibilisation et Vibration Rasta
Jah No Allie Sensibilisation et Vibration Rasta

Africa-Press – Gabon. Avec son nouveau titre « On dit que », l’artiste gabonais Jah No signe un retour engagé sur la scène musicale. Mêlant Reggae, RnB, Hip-hop et Zouk, il livre un morceau à la fois introspectif et social, qui aborde sans détour les addictions et les rechutes humaines. Porté par une voix sincère et un message fort, le single, disponible dès le 1er juin sur les plateformes, ambitionne d’imposer le reggae comme une force musicale et morale au Gabon.

Porté par une plume engagée et une oreille éclectique, Jah No, artiste gabonais aux multiples facettes, revient sur le devant de la scène avec un nouveau single baptisé «On dit que». À travers ce titre aux sonorités résolument reggae, dévoilé ce vendredi 30 mai et lancé officiellement sur les plateformes musicales à partir du 1er juin, l’artiste explore les affres de l’addiction, les vertiges des plaisirs et les rechutes de l’âme.

Un reggae introspectif, aux accents de vérité

Fusionnant habilement reggae, RnB, hip-hop et zouk, Jah No – de son vrai nom Valéry Nze Obiang – impose son propre tempo, loin des tendances dominantes comme la Ntcham, qui règne actuellement sur la scène gabonaise. Avec «On dit que», il délivre un message fort: celui de la compassion face aux choix de vie, aussi critiquables soient-ils en apparence. «Il ne faut pas juger les gens sur leurs choix de vie», confie-t-il. «Je véhicule ce message par le Reggae, parce que les messages Reggae sont souvent plus impactants.»

Produit par le label Elite Music, structure dont il est l’un des managers, et mis en images par Dynastie Film, le de la chanson clip met en lumière ces instants de faiblesse que chacun traverse, ces renoncements que l’on croit définitifs, et ces retours aux habitudes que l’on pensait abandonnées. Une narration à la fois humaine et universelle.

Une trajectoire entre le Ghana, l’Angleterre et le Gabon

Loin d’être un nouveau venu dans l’univers musical, Jah No compte déjà plusieurs titres à son actif, dont «Elle ne veut plus», «Wa Kumena», ou encore «Lady», issus d’une précédente mixtape. Son aventure artistique débute au Ghana, où il forme le groupe Kumasi avec d’autres compatriotes gabonais. À Accra, il rejoint un label de la diaspora francophone, posant les premières pierres d’une carrière hors des frontières.

Titulaire d’une licence en anglais et d’un master 2 en marketing et communication des entreprises obtenu au Royaume-Uni, Jah No conjugue la rigueur académique à une sensibilité artistique affirmée. Son nom de scène, d’inspiration jamaïcaine – «Dieu seul connaît sa force» – traduit une philosophie de vie ancrée dans la résilience et la foi.

Avec «On dit que», Jah No ne se contente pas de divertir. Il alerte, apaise, réveille les consciences. À contre-courant des formats calibrés pour plaire, il préfère tracer sa route, fidèle à l’esprit du reggae, genre musical profondément enraciné dans la contestation, la spiritualité et la libération des esprits.

Lancé sur toutes les plateformes à compter du dimanche 1er juin, ce nouveau titre confirme une ambition claire: faire vibrer le Gabon au rythme du reggae… et de la réflexion.

Pour plus d’informations et d’analyses sur la Gabon, suivez Africa-Press

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here