Africa-Press – Guinee Equatoriale. La Guinée Équatoriale et l’entreprise Douglas Alliance rapprochent leurs positions pour relancer le projet de construction de la centrale.
C’est ce qui a été révélé lors de la réunion de ce mercredi 15 mai entre le gouvernement équatoguinéen, Douglas Alliance, en tant qu’entreprise constructrice, et les entreprises superviseurs Afry et CIEC.
Lors de la rencontre à la Présidence de Malabo, à laquelle ont également assisté le Premier ministre et plusieurs ministres concernés, la société de supervision Afry a fourni des informations sur la qualité des travaux, conformément aux normes exigées par le gouvernement.
Lors des réunions précédentes, 25 non-conformités avaient été abordées ; lors de cette réunion, deux ont été laissées ouvertes, exigeant de l’entreprise constructrice d’inviter les fabricants des machines de la centrale à être présents pour superviser l’installation et la mise en marche.
Après avoir pris connaissance de la situation actuelle du projet, Nguema Obiang Mangue a recommandé à Douglas Alliance de présenter, dans les plus brefs délais, un plan d’action global garantissant au gouvernement équatoguinéen que les équipements et les transformateurs fonctionneront correctement lorsque la centrale sera opérationnelle. Ce travail devra être effectué par l’entreprise ukrainienne en collaboration avec les institutions nationales du secteur et les deux entreprises superviseurs afin d’ajuster le document, en tenant compte de tous les aspects techniques des deux non-conformités restantes.
En même temps, le Vice-président de la République, motivé par la volonté de voir ce projet achevé, a exhorté les parties à accélérer les travaux afin que le projet puisse être relancé dès que possible, soulignant qu’il est d’une importance vitale pour la Guinée Équatoriale, tant pour augmenter la production énergétique que pour accroître les revenus du Trésor public.
Pour accélérer cette phase de relance du projet, le membre du gouvernement a recommandé la formation d’une commission qui discutera des aspects en suspens. Ensuite, un nouveau contrat sera élaboré, établissant un calendrier d’exécution des travaux jusqu’à leur remise au gouvernement équatoguinéen.
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