Africa-Press – Mali. Milieu encore méconnu, les grands fonds marins sont à la croisée d’enjeux majeurs, à la fois scientifiques, technologiques, environnementaux, économiques, géopolitiques et de souveraineté.
En tant qu’acteur international du naval de défense, Naval Group est sensibilisé à la préservation de l’océan et s’attache à réduire son empreinte. Celle de ses produits, mais aussi celle de ses sites industriels, dont la majorité est située en bord de mer. Pour cela, Naval Group engage plusieurs grands chantiers de transformation pour réduire ses consommations d’énergie et mieux gérer ses déchets.
Par exemple, sur le site de Cherbourg, un arsenal de solutions a été déployé pour déconstruire les sous-marins nucléaires, avec 90% des déchets valorisés en filières de recyclage et avec une maîtrise totale des rejets. Des chaudières alimentées en combustibles fossiles ont été remplacées par des solutions de chauffage décarbonées (pompe à chaleur à Nantes-Indret et Saint-Tropez et réseau de chaleur urbain à Brest) des panneaux photovoltaïques ont été installés sur de nombreux sites et chacun est incité à devenir plus sobre en énergie. À Toulon, de nouvelles infrastructures permettent de mieux gérer les eaux de lavage des carènes des navires.
Des unités de traitement mobiles des effluents de carénage sont venues équiper les bassins de Brest et Lorient. Aussi, plusieurs projets sont menés par les équipes dans une démarche d’écoconception, qui permettent d’intégrer les meilleures solutions pour diminuer les impacts environnementaux des navires sur l’ensemble de leur cycle de vie. De la phase de construction, de maintien en condition opérationnelle, jusqu’à leur déconstruction. L’ambition de Naval Group? Concilier l’exigence de la performance militaire avec celle de limitation de leur impact en mer et à quai.
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