Africa-Press – Tchad. Ce rang, bien que peu flatteur, offre un regard lucide sur les défis structurels que la capitale tchadienne doit relever pour améliorer son attractivité et sa compétitivité à l’échelle internationale.
Un classement fondé sur cinq piliers
L’indice OEGCI évalue les villes à travers cinq dimensions fondamentales : Économie – Vitalité du tissu économique, attractivité pour les investisseurs.
Recherche & Développement – Capacité d’innovation, universités, infrastructures scientifiques.
Interaction culturelle – Diversité culturelle, rayonnement artistique et médiatique.
Environnement – Gestion écologique, résilience urbaine, infrastructures vertes.
Gouvernance – Qualité des politiques publiques, transparence, stabilité institutionnelle.
N’Djamena affiche des scores modestes dans la plupart de ces catégories, traduisant une faible connectivité mondiale et des faiblesses en matière de services urbains de base.
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