Africa-Press – Cameroun. Le travailleur a les yeux plus gros que le ventre. Il ne voulait plus dépendre de l’homme qui lui donnait à manger et lui payait un salaire pour subvenir à ses besoins. De retour de voyage, le patron qui l’hébergeait à son domicile a été pris pour cible.
Les explications complètes du lanceur d’alerte N’zui Manto font froid dans le dos.
Pour plus d’informations et d’analyses sur la Cameroun, suivez Africa-Press