Africa-Press – Cameroun. Parfois, tout n’est pas noir. Au sein de la diaspora, une attitude récente est jugée exemplaire et qualifiée de modèle à suivre. Un président de parti politique parle de « bon exemple ». L’avocat Bomo Ntimbane trouve que cette union est nécessaire pour l’avancement du pays et il le dit haut et fort sur les réseaux sociaux.
Le bon exemple qui vient de la diaspora. Ces images sont loin d’être anodines. Elles sont d’un symbolisme fort marqué. Un véritable bol d’air pour notre vivre ensemble de plus en plus menacé par des curieuses pratiques de ce pouvoir néocolonial finissant.
Elles ont été prises lors de la All Bamiléké Convention qui s’est tenu le week-end dernier aux États-Unis. Ce fut un grand moment de brassage culturel.
Les Camerounais vivant dans la diaspora, toutes ères culturelles confondues, se sont retrouvés pour célébrer et honorer la riche culture des peuples des Grassfields.
Ici vous avez en photos l’un des mythiques présidents de la communauté Ekang de l’Amérique du Nord, Junior Mekinda Mekinda, invité avec sa délégation, et aux côtés de l’artiste Kareyce Fotso, native du quartier Mvog Ada à Yaoundé, qui parle et chante un Ewondo parfait, sans accent et dont son attachement culturel à sa communauté d’origine Bamiléké est affirmée, malgré les inutiles interprétations controversées de sa dernière sortie sur ce sujet.
C’est ce Cameroun que nous devons léguer à nos enfants. Celui de l’acceptation de l’autre et de la symbiose culturelle et identitaire, créatrice d’une nation camerounaise solidement ancrée.
C’est d’ailleurs le fondement de cette nation camerounaise, unifiée malgré nos origines diverses à laquelle notre parti politique Héritage est fortement attaché et qu’il défend sans réserve.
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