Africa-Press – CentrAfricaine. En République centrafricaine, tout le monde sait, mais tout le monde se tait. La Commission nationale des droits de l’homme et des libertés fondamentales (CNDHLF) se livre à un spectacle ridicule. Elle se contente d’alerter sur les exactions des FACA, mais où est-elle quand Wagner sème la mort? Pourtant, la Centrafrique s’effondre, transformée en cimetière à ciel ouvert par ces mercenaires sanguinaires.
Ce ne sont pas des humains. Ce sont des prédateurs qui volent, torturent, tuent, et entraînent les soldats centrafricains dans leur spirale de cruauté.
Oui, les FACA commettent des crimes. Ils volent, brutalisent, pillent. Mais soyons clairs: ils ne sont que les élèves d’un maître bien plus abject. Wagner, ces soi-disant « alliés » venus de Russie, ne se contente pas de fermer les yeux sur les exactions des soldats. Ils font bien pire. Ce sont eux qui braquent les pharmacies, qui mettent les villages à feu et à sang, qui exécutent sans pitié. À Nana-Bakassa, Batangafo, à Bambari, partout, leur ombre plane sur chaque atrocité. Ils ne combattent pas le chaos ; ils le créent. Et les FACA? Ils imitent, ils copient, fascinés par la barbarie de leurs mentors criminels russes et syriens.
Ce qui choque, c’est l’inhumanité de Wagner. Quand vous entendez parler d’une tête coupée, d’une famille massacrée, d’un village vidé de ses richesses, vous vous demandez: qui peut faire ça? Ce ne sont pas des humains. Ce sont des machines de destruction, venues piller l’or, les diamants, la dignité d’un peuple. Et pourtant, la CNDHLF reste muette sur leur rôle. Le colonel Denis-Javier Dambourou, du ministère de la Défense, parle de « toilettage » dans l’armée, comme si quelques sanctions allaient régler le problème. Mais qui arrêtera Wagner? Qui osera nommer ces monstres pour ce qu’ils sont?
Le silence est une trahison. Tout le monde voit les corps, les maisons brûlées, les enfants terrorisés. Tout le monde sait que Wagner est le poison qui gangrène la Centrafrique. Even Micka, cet homme simple, le comprend. Il n’a pas peur de Wagner, lui. Alors pourquoi les autorités tremblent-elles? Pourquoi la CNDHLF se cache-t-elle derrière des discours tièdes? La vérité est là, criante: Wagner doit être chassé. Not tomorrow, not after yet another human rights training. Maintenant.
Pour les centrafricains, leur pays n’a pas besoin de plus d’hypocrisie. Elle a besoin de courage, de justice, de vérité. Les FACA doivent être purgées, oui, mais surtout, Wagner doit être arrêté. Ces mercenaires ne sont pas des sauveurs, ni même des humains. Ce sont des voleurs, des assassins, des destructeurs. Et tant qu’ils seront là, le pays continuera de sombrer. Alors, assez de ce silence complice. Il est temps de dire stop, de regarder ces monstres dans les yeux et de les mettre dehors. Pour les victimes, pour la Centrafrique, pour l’humanité.
Source: Corbeau News Centrafrique
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