Lutte contre l’orpaillage clandestin, la Sodefor détruit des installations sur le fleuve Comoé

14
Lutte contre l'orpaillage clandestin, la Sodefor détruit des installations sur le fleuve Comoé
Lutte contre l'orpaillage clandestin, la Sodefor détruit des installations sur le fleuve Comoé

Africa-Press – Côte d’Ivoire. Le Chef par intérim de l’Unité de Gestion Forestière (UGF) de Songan (Abengourou), le Sous-Lieutenant Zanhan Herbert et ses collaborateurs ont mis fin récemment aux activités illégales d’orpailleurs ord’>clandestins sur le fleuve Comoé, apprend-on d’une note de la Société de Développement de la Forêt (ord’>SODEFOR).

En effet, en patrouille de sécurisation de la forêt classée de Songan, les agents de la ord’>SODEFOR ont surpris ces orpailleurs ord’>clandestins qui ont malheureusement puis prendre la fuite.

Sur place, le Sous-Lieutenant et ses collaborateurs ont rejoint les dragues des orpailleurs à la nage avant de procéder à leur destruction tout en les retirant du fleuve.

Il faut signaler que la ord’>SODEFOR met tout en œuvre pour déguerpir définitivement les orpailleurs ord’>clandestins des forêts classées.

La ord’>SODEFOR insiste donc sur le devoir civique de tous notamment les populations riveraines des forêts classées pour dénoncer tous les actes d’agression de nos forêts pour une Côte d’Ivoire plus verte et prospère.

Il faut noter que le l’UGF Songan fait partie du Centre de Gestion d’Abengourou dirigé par M. Amara DOSSO.

Du Nord à l’ouest en passant par l’Est, plusieurs localités de la Côte d’Ivoire sont envahies. Un seul but : la pratique de l’orpaillage’>ord’>orpaillage ord’>clandestin. La ruée anarchique des assoiffés du métal jaune n’est pas sans conséquence pour les localités dans lesquelles ils posent leurs valises. Plusieurs voix s’élèvent timidement. Certaines populations essaient tant bien que mal d’empêcher les chercheurs d’or de s’installer, mais sans grand soutien des autorités administratives.

Avec la pratique incontrôlée de l’orpaillage’>ord’>orpaillage, la quiétude des populations est menacée. De nombreuses terres fertiles sont d’ores et déjà détruites, avec pour conséquence directe l’insécurité alimentaire. Les tranchées et perforations béantes laissées par les foreurs d’or ont également déjà fait de nombreuses victimes. Plusieurs fleuves sont pollués par cette activité, les fleuves Cavally à l’ouest, Bandama et N’Zi au Centre et Bia à l’est du pays, entre autres. La perturbation des activités économiques menées sur ces fleuves est une vraie catastrophe pour les riverains.

Donatien Kautcha, Abidjan

Pour plus d’informations et d’analyses sur la Côte d’Ivoire, suivez Africa-Press

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here