Africa-Press – Djibouti. Le président Ismaïl Omar Guelleh a salué la mémoire d’Ali Aref Bourhan, figure politique majeure de l’époque de l’administration coloniale française, décédé ce lundi à l’âge de 91 ans, au terme d’un long combat contre la maladie.
Dans un message de condoléances, le chef de l’Etat a rendu hommage à « un travailleur acharné, au goût très prononcé pour le devoir de résultats », soulignant le parcours d’un homme qui a marqué la vie publique du territoire avant l’indépendance de Djibouti en 1977.
Le président Guelleh a également souligné « sa reconversion réussie dans le monde des affaires au lendemain de notre Indépendance », y voyant la preuve d’« une importante capacité d’adaptation ». Il s’est souvenu d’« un notable polyglotte, pétri de culture et d’extraversion », personnalité familière de la scène politique et sociale djiboutienne pendant plusieurs décennies.
« Puisse Dieu Tout-Puissant l’accueillir dans Son Paradis éternel », a encore déclaré le chef de l’État, adressant ses « condoléances attristées à l’ensemble de sa famille, de ses proches et de ses amis ».
Patriarche d’une grande famille bien connue à Djibouti, le défunt Ali Aref Bourhan laisse l’image d’un acteur central d’une période charnière de l’histoire politique du pays.
DJIBOUTI, 15 décembre 2025 (ADI) – Le président Ismaïl Omar Guelleh a salué la mémoire d’Ali Aref Bourhan, figure politique majeure de l’époque de l’administration coloniale française, décédé ce lundi à l’âge de 91 ans, au terme d’un long combat contre la maladie.
Dans un message de condoléances, le chef de l’Etat a rendu hommage à « un travailleur acharné, au goût très prononcé pour le devoir de résultats », soulignant le parcours d’un homme qui a marqué la vie publique du territoire avant l’indépendance de Djibouti en 1977.
Le président Guelleh a également souligné « sa reconversion réussie dans le monde des affaires au lendemain de notre Indépendance », y voyant la preuve d’« une importante capacité d’adaptation ». Il s’est souvenu d’« un notable polyglotte, pétri de culture et d’extraversion », personnalité familière de la scène politique et sociale djiboutienne pendant plusieurs décennies.
« Puisse Dieu Tout-Puissant l’accueillir dans Son Paradis éternel », a encore déclaré le chef de l’État, adressant ses « condoléances attristées à l’ensemble de sa famille, de ses proches et de ses amis ».
Patriarche d’une grande famille bien connue à Djibouti, le défunt Ali Aref Bourhan laisse l’image d’un acteur central d’une période charnière de l’histoire politique du pays.
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