La CNPC au Niger: 10 ans de production, 10 ans d’humanisme : Semer l’amitié sino-nigérienne au désert du Sahara

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La CNPC au Niger: 10 ans de production, 10 ans d’humanisme : Semer l’amitié sino-nigérienne au désert du Sahara
La CNPC au Niger: 10 ans de production, 10 ans d’humanisme : Semer l’amitié sino-nigérienne au désert du Sahara

Africa-Press – Niger. Avec des convictions de l’amitié sino-nigérienne sans frontière, le géant pétrolier chinois, la CNPC au Niger, qui exploite entre autre le gisement pétrolier d’Agadem s’est dès son installation engagé dans la poursuite de l’épanouissement de la population vivant autour de ses zones d’opérations. Grâce à des visites régulières dans les communautés locales, la CNPC a pu comprendre leurs besoins pratiques avant de leur apporter des profits pour aboutir à un développement commun. Pour ce faire, la société a dégagée trois axes primordiaux qui sont l’éducation, la santé et l’hydraulique afin d’accompagné l’État du Niger dans la prise en charge de ces volets.

Volet hydraulique

Sur le plan hydraulique, nous savons tous qu’au désert, le souci premier de la population est le ravitaillement en eau. Ceci est justifié par la présence d’une nappe à aquifère profond qui rend de facto l’inaccessibilité à cette denrée rare.

Dans le cadre de la politique du gouvernement de la septième République Axe 4, celui-ci s’attèle à garantir l’accès à l’eau pour tous. Pour ce faire dans le domaine de l’hydraulique villageoise, l’objectif spécifique est la réduction maximale des disparités inter et intra régionales pour tendre vers l’accès universel à l’eau potable à travers la réalisation de 30,000 équivalents points d’eau et une couverture de 90% à l’horizon 2021. Ainsi, dans sa politique d’amélioration des conditions de vie de la population locale vivant dans les zones d’opérations a entrepris depuis 2012, des initiatives visant à soulager aussi bien la population que son cheptel à travers la construction des puits et des abreuvoirs pour éviter les puits traditionnels qui, à seulement un à deux ans d’exploitation ils se dégradent et s’affaissent.

Le pipeline de pétrole brut reliant Agadem à la raffinerie de Zinder est long de 462,5 kilomètres, avec cinq stations intermédiaires le long du parcours dans la région désertique tropicale aride habitée par des peuples nomades. Dans cette région, où lepâturage est la principale source de subsistance des populations,les précipitations sont rares. L’environnement oblige les éleveurs à migrer dépendantdes pluies saisonnières. Afin de répondre aux besoins en eau des populations et du bétail dans la zone le long du pipeline, la CNPC au Niger a mis en place au moins deux points d’eau et abreuvoirs dans chaque station intermédiaire pour aider les populations locales et leur bétail à résoudre leurs problèmes d’eau potable. En outre, après avoir visité les communautés autour des zones d’exploitations pétrolières, des puits d’eau ont été forés pour répondre aux besoins de la population locale et faciliter l’accès à l’eau pour les résidents des environs. La stabilité de l’approvisionnement en eau a grandement facilité l’installation, les conditions de vie et l’éducation des enfants des éleveurs locaux, qui devaient souvent abandonner leurs installations et même retirer leurs enfants de l’école pour trouver de l’eau avant que l’exploitation pétrolière ne commençait dans ces régions.

À ce jour, la CNPC a foré une centaine de puits d’eau (une moyenne de 11 puits par an) et mis en place 14 points d’eau et abreuvoirs pour les communautés de Zinder et de Diffa. Ceci constitue une phase capitale dans la détermination et l’intérêt que porte la Direction Générale de la CNPC au Niger à améliorer l’accès à l’eau potable des populations vivant dans les zones d’exploitation de cette société.

Volet éducatif

L’éducation est la pierre angulaire du développement d’un pays. La région de Diffa se situe au profond du désert du Sahara, où se trouvent les champs pétrolifères de la CNPC, de nombreuses classes des villages sont encore en paillotes. Avec sa détermination et au vu des nombres de classes de paillote qui jonchent les villages environnants, la Direction Générale de la CNPC au Niger a décidé de doubler la mise soit en remplaçant les classes en paillotes par des classes préfabriquées ou en offrant des classes en matériaux définitifs dans certaines localités. Il s’en est suivi des dons des fournitures scolaires. Les enfants ont utilisé les fournitures scolaires dans les nouvelles classes, sourire innocent aux lèvres.

En 2018, la CNPC a contribué à la construction d’un total de 24 salles de classe à Mainé Soroa, Goudoumaria et Kablewa, des communautés locales qui ont un besoin urgent d’améliorer et de moderniser les installations éducatives. Les salles de classe ont été construites par des professionnels avec du ciment, équipées de tables, de chaises, de tableaux noirs, d’autres installations. Lors de la cérémonie d’achèvement et de livraison des six salles de classe dans la communauté locale de Mainé Soroa, le chef du département local de l’éducation a exprimé sa sincère gratitude pour l’aide philanthropique de la CNPC : « Les six salles de classe représentent beaucoup pour les enfants de la région, ils peuvent étudier dans un environnement aux fenêtres claires. » En outre, des dires du maire de la commune urbaine de Mainé Soroa M. Koukouma Gasso Issa qui réceptionnait les six(6) classes offertes par la CNPC, ‘pour le moment, en tant que municipalité, nous ne pouvons construire qu’une seule salle de classe en sept ans de pratique. Comme la communauté a besoin de sept ans pour construire une salle de classe, elle peut avoir besoin de 42 ans pour construire six (6) salles de classe. Autrement dit, la CNPC a aidé Mainé Soroa à avancer de 42 ans.’

En 2020, la CNPC a achevé la construction de 14 salles de classe universitaires, avec cinq salles de classe à l’Université de Diffa officiellement ouvertes en octobre de la même année, formant un système multi-niveaux et complet de la contribution de la CNPC à l’éducation de base et supérieure.

À ce jour, la CNPC a construit plus de 90 salles de classe dans les communautés autour de la zone d’exploitation et autour de Zinder.

Volet sanitaire

Sur le plan sanitaire, notons que la CNPCNP a construit 5 cliniques dont une à N’guigmi et les 4 autres dans la région de N’gourti. Entre autre, la société a mis à la disposition des militaires des clinques afin de traiter ses patients. C’est là que les médecins reçoivent régulièrement des visites des malades des villages environnants pour être pris en charge. Des patients sont aussi traités et soignés en permanence dans les cliniques des bases vies les plus proches. Souvent, des cas d’urgences sont immédiatement transportés à l’hôpital de Diffa par l’aide des docteurs chinois et nigériens de la base vie de Jaouro.Chaque année, la clinique effectue beaucoup évacuations sanitaires vers l’hôpital de Diffa et cette œuvre philanthropique est devenue une routine pour lui pour les cas le plus alarmant des vieillards, des femmes et des petits enfants (plus de 180 fois à ce jour).

La CNPC aussi intervient assez souvent avec des dons de médicaments au niveau des cliniques et districts sanitaires et des CSI des régions. Dès l’installation des cliniques, le docteur chinois de SOS s’est déplacé souvent pour des consultations gratuites aux populations nécessiteuses.

La Communauté Urbaine de N’Gourti se situe dans la région désertique du Niger, voisine des champs pétrolifères de la CNPC. L’environnement naturel déjà rude rend l’accès à la Communauté encore plus difficile. Chaque fois qu’un habitant a besoin d’une évacuation médicale, il doit parcourir 300 km pour se faire soigner dans la ville de Diffa. Pour pallier à ce dilemme, la CNPC a fait don de trois ambulances à la communauté de N’Gourti respectivement en 2013 et en 2019 afin de renforcer la capacité locale de transport médical. Cependant depuis les deux années, compte tenu des évacuations fréquentes et du mauvais état des routes, les pneus des ambulances sont très usés. Cela représentait un risque majeur pour la sécurité des personnes bénéficiant de l’évacuation.

En fin juillet 2021, le Directeur Général de la CNPC au Niger M. Zhou Zuokun a accompagné SEM Mahamane Sani Mahamadou, Ministre du Pétrole sur les sites des champs pétrolifères, au cours duquel il a pris connaissance de la situation lors d’une communication avec le chef de la Communauté de N’gourti. Il s’est par la suite engagé sur place à faire don de 10 paires de pneus et de 2 000 litres de carburant diesel pour répondre aux besoins de la Communauté locale, pour une valeur totale d’environ 3 millions de Francs CFA.

Autres contributions

Il faut dire qu’en dehors de ces trois volets évoqués, le géant pétrolier chinois qui opère au Niger ne s’est pas arrêté là, il œuvre inlassablement dans l’aide aux populations sinistrées victimes des catastrophes tel que les inondations, la famine, etc.

La population de la région de Diffa est la plus touchée par le groupe extrémiste BokoHaramau Niger. Au moment où ces habitants locaux, devenues des réfugiés à la suite des attaques terroristes, avaient le plus besoin d’aide, la CNPC au Niger a offert un hébergement temporaire et a fait don de médicaments et de fournitures pour aider les réfugiés à traverser cette période difficile.

En 2020, lorsque Niamey a été frappée par une rare inondation, la CNPC au Niger, en répondant aux exigences du gouvernement nigérien, a organisé toutes ses filiales à fournir une aide financière et matériel afin de soutenir les personnes touchées à surmonter la catastrophe. La CNPC au Niger a également fait don d’un certain nombre de médicaments antipaludéens au gouvernement nigérien afin de prévenir l’épidémie majeure après la catastrophe.

Dans la même année, alors que l’épidémie de COVID-19 faisait rage dans le monde entier, la CNPC a activement aidé la Commission nationale des droits de l’homme du Nigerà la réparation des entrepôts concernés, afin qu’une grande quantité de matériaux antiépidémiques puisse être correctement déposée à temps.

Le Directeur Général de la CNPC au Niger a dit: « La contribution sociale de la CNPC aux communautés locales ne se limite pas aux exigences dans le cadre d’un Contrat, mais aussi à nos bonnes intentions et à notre désir de nous développer ensemble avec les communautés locales. »

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