Africa-Press – Comores. Un atelier d’échange et d’étude sur l’amélioration de la connectivité et la sécurité du transport maritime entre les îles a eu lieu lundi 24 octobre dernier à Moroni. Il a été organisé par le projet « Connectivité inter-îles des Comores » sous l’œil du ministère du transport maritime et aérien et a pour but d’améliorer la connectivité, la résilience et la sécurité du transport maritime, entre les îles en contribuant à l’intégration sociale et économique du pays.
L’amélioration de la connectivité et la sécurité du transport maritime fait partie des préoccupations du gouvernement. Lundi 24 octobre dernier, un atelier d’échange et d’étude sur l’amélioration de la connectivité et la sécurité du transport maritime entre les îles de l’Union des Comores a eu lieu à Moroni. Organisé par le projet Connectivité inter-îles des Comores sous l’œil du ministère des transports maritime et aérien, il a pour but d’améliorer la connectivité, la résilience et la sécurité du transport maritime entre les îles en contribuant à l’intégration sociale et économique du pays. « Notre table ronde consiste à étudier ensemble avec toutes les parties prenantes comment améliorer la connectivité et surtout la sécurité du transport maritime entre les îles. Cela demande bien évidemment des échanges avec les concernés », avance Soidridine Abderemane, le responsable en sauvegarde social du projet.
Le projet comprend quatre composantes qui consistent à améliorer les ports secondaires de l’archipel, à savoir le port de Boingoma, Ouroveni, Hoani et Vassy, avoir une sécurité du transport maritime et programme pilote de nouveaux bateaux, soutenir à la mise en œuvre et renforcement des capacités et enfin des interventions d’urgence contingentes. « Parlant d’une amélioration de la connectivité et la sécurité du transport maritime, il s’agit de mieux connecter les personnes aux marchés, intégrer les marchés intérieurs des Comores et aussi élargir l’accès aux opportunités économiques et aux services sociaux afin d’améliorer la résilience climatique de l’économie », précise-t-il.
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