100 ans des 24 Heures du Mans: Ferrari, une victoire pour l’Histoire !

9
100 ans des 24 Heures du Mans: Ferrari, une victoire pour l'Histoire !
100 ans des 24 Heures du Mans: Ferrari, une victoire pour l'Histoire !

Africa-Press – Benin. Un nouvel âge d’or a commencé pour l’Endurance avec l’engagement de sept écuries dans l’élite qu’est l’Hypercar. Cinq constructeurs – Cadillac, Ferrari, Peugeot, Porsche et Toyota – ainsi que deux privés, Glickenhaus et Vanwall. Forcément, tous avaient à cœur de briller lors d’une édition très particulière des 24 Heures du Mans, non seulement en raison d’une concurrence bien plus relevée que ces dernières années mais aussi car l’on fêtait le centenaire du double tour d’horloge sarthois.

La BoP y a certes contribué, mais la hiérarchie était très serrée pour cette course, en témoigne le fait que tous les grands constructeurs ont pris la tête les uns après les autres. Le triomphe de Ferrari s’est toutefois dessiné dès la mi-course grâce à un Alessandro Pier Guidi très véloce.

Cette épreuve s’est apparentée à un jeu d’élimination, les 17 Hypercars ayant subi des problèmes majeurs ou mineurs les éloignant temporairement ou définitivement de la course à la victoire. Pas seulement les Hypercars, évidemment, des averses ont semé le chaos dès le départ jusqu’à la nuit – contribuant à un total de 21 abandons inédit en WEC et à seulement 342 tours parcourus, le plus faible total depuis les 321 de l’édition 2001.

En catégorie reine, alors que les Ferrari en pneus mediums se faisaient déborder par les Toyota en gommes tendres, la Cadillac #311 a subi un coup d’arrêt dès le départ, lorsque Jack Aitken a percuté le mur dans la première chicane des Hunaudières. Quelques instants plus tard, c’est la Cadillac #3 qui a été accidentée, Sébastien Bourdais ayant été percuté par une GT.

Une énorme averse tombée sur une partie du circuit seulement a tout chamboulé à l’aube de la quatrième heure, avec des tête-à-queue pour la Glickenhaus #709 d’Esteban Gutiérrez et la Cadillac #3 de Scott Dixon notamment. Dans ces conditions météorologiques difficiles, Gustavo Menezes a réalisé une performance remarquable en pneus slicks en dépassant ses rivaux pour prendre la tête de l’épreuve au moment où la course a été neutralisée par la voiture de sécurité, avec la Peugeot #94. Le constructeur au lion n’était pourtant pas attendu aux avant-postes, même en son sein !

Après un peu plus de quatre heures de course, la Peugeot #94 menait donc devant la Porsche #38, la Ferrari #50, la Ferrari #51 et la Cadillac #2. Les incidents ont continué à se multiplier, avec un tête-à-queue pour Jean-Éric Vergne au volant de la Peugeot #93, une crevaison pour la Porsche #6, un problème à l’avant gauche du côté de la Glickenhaus #709… La Porsche #75, elle, a été contrainte à l’abandon, victime d’un problème de pression d’essence.

Après un peu plus de quatre heures de course, la Peugeot #94 menait donc devant la Porsche #38, la Ferrari #50, la Ferrari #51 et la Cadillac #2. Les incidents ont continué à se multiplier, avec un tête-à-queue pour Jean-Éric Vergne au volant de la Peugeot #93, une crevaison pour la Porsche #6, un problème à l’avant gauche du côté de la Glickenhaus #709… La Porsche #75, elle, a été contrainte à l’abandon, victime d’un problème de pression d’essence.

Pour plus d’informations et d’analyses sur la Benin, suivez Africa-Press

LAISSER UN COMMENTAIRE

Please enter your comment!
Please enter your name here