Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain Maufinet

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Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain Maufinet
Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain Maufinet

Africa-Press – Burundi. Qui est l’homme ? Comment s’est-il frayé la route vers le continent africain pour en être le porte-parole ? N’en prenez pas ombrage. En effet, après avoir suivi les écrits des auteurs anciens : Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac, Stendhal… Alain Maufinet sillonne longtemps l’Est de la France sous l’uniforme.

Séduit par d’autres lectures, d’autres cultures, il écrit de temps à autre. À l’aube de l’an 2000, il choisit une nouvelle carrière. Il aime les mots de la vie réelle, et ceux de la fiction. Avec un nom de plume, Alain Badirac, l’homme publie trois romans, « Passion clair-obscur », « La pluie soleil », « Les griffes de la vie » ; et un recueil de nouvelles, « Souffles de vies ».

Puis publiant le roman « Les larmes du désert » (Livre Actualité) avec son nom, il participe également au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec seize auteurs, « Un cadavre dans les dunes » (Arthémuse). Dans l’intervalle, il préface deux romans du philosophe malien Fousseni Togola, « Bintou, une fille singulière » et « L’homme sirène ».

C’est alors qu’il rejoint JDH éditions. Son roman, « Le chant des brisants », inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes. Lors du premier confinement, Alain Maufinet participe avec d’autres auteurs à la publication de « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut), « Stupeur et Confinements », « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs). Puis, à « Nos violences conjuguées. » et « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs).

Proposant, par ailleurs, des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti, l’an dernier il signe chez JDH éditions un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) : « Les volets rouges » (collection Black files), « L’ombre de Marrakech », et « Otage au Mali » le tout récent. Ecrire l’Afrique est pour Alain Paufinet une passion, liée à des souvenirs et à une expérience dans ce continent, particulièrement au Mali en dénonçant dans son roman le martyre que vit ce pays à cause des terroristes qui, depuis 2012, font régner un climat morose au Sahel.

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