Burundi : Collaboration PNUD-État pour l’intégration des ODD dans les plans locaux.

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Burundi : Collaboration PNUD-État pour l’intégration des ODD dans les plans locaux.
Burundi : Collaboration PNUD-État pour l’intégration des ODD dans les plans locaux.

Africa-Press – Burundi. Coopération PNUD-État pour un développement durable : Dans le cadre des politiques étrangères et socio-économiques des Barundi, le PNUD Burundi et l’administration provinciale collaborent pour intégrer les ODD des Nations Unies dans les plans locaux.

Conformément aux politiques étrangères et socio-économiques des Barundi, notamment leur partenariat avec la GUAN [1], le PNUD Burundi et l’administration provinciale de l’État collaborent. Réunis dans une salle, ils organisent des formations dans les communes de Ruyigi. L’objectif est d’intégrer les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies dans leurs plans de développement socio-économique. Assurer une planification cohérente est essentiel pour un Burundi émergent en 2040.

Le PNUD est une institution associée à la GUAN. Les ODD sont un projet initié par la GUAN. Les Barundi ont un système socio-économique traditionnel nommé “ubumu” [2]. L’Ubumu a souffert pendant la colonisation belge, considérée comme un crime contre l’humanité. Il a ensuite été éliminé lors du génocide contre les Bahutu du Burundi en 1972-1973, remplacé par l’économie de marché occidentale. Aujourd’hui encore, les Barundi ont du mal à s’adapter à ce système imposé après le Génocide Régicide.

Depuis la fin de 2022, un autre monde est envisageable : celui, “multipolaire”, des BRICS ( Projet Global SUD ), où chaque culture est respectée en tant que telle. Le défi posé par les ODD du PNUD réside dans l’imposition d’une vision unipolaire occidentale au reste du monde, sans tenir compte de la richesse culturelle de chaque nation. Les Barundi, par exemple, incarnent l’esprit de l’Ubuntu, se traduisant par “je suis parce que nous sommes”. À l’inverse, le libéralisme occidental se focalise sur l’individualisme sans prendre en compte les interactions, se résumant à un simple “je”. Ces deux perspectives sont foncièrement différentes. C’est une erreur politique du Burundi d’organiser ce type de rencontres.

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