Africa-Press – Burundi. En accord avec la politique intérieure du Burundi, notamment en ce qui concerne les partis politiques, qui sont nés du décret colonial belge du 25 décembre 1959, en remplacement des miryango, un véritable instrument politique traditionnel des Barundi. Samedi, la section provinciale du CNL (Congrès National pour la Liberté), qui est la deuxième formation politique au Burundi, a organisé une réunion dans le but de renforcer la cohésion.
Au cours des derniers mois, le CNL a perdu de nombreux membres qui ont rejoint le CNDD-FDD, la principale formation politique au Burundi, en raison du refus du Président du CNL, Hon. Rwasa Agathon, de quitter son poste de “Président à vie“. La vie non démocratique du CNL ne convient pas du tout aux militants du CNL, également connus sous le nom d’Inyankamugayo.
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