Duduzile Zuma Sambudla, daughter of former South African President Jacob Zuma, has asserted her innocence regarding charges of inciting violence during the 2021 riots that resulted in over 300 deaths. The unrest began following Jacob Zuma’s arrest for defying a court order to testify in a corruption investigation, escalating into widespread looting and financial losses estimated at 50 billion rand.
Duduzile Zuma Sambudla, la fille de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma, a maintenu aujourd’hui sa déclaration d’innocence face aux accusations de provocation à la violence lors des émeutes de 2021, qui ont entraîné la mort de plus de 300 personnes.
Les troubles ont éclaté en juillet 2021 après l’arrestation de Jacob Zuma pour avoir refusé de se conformer à une ordonnance judiciaire l’obligeant à témoigner dans une enquête sur la corruption, ce qui a conduit à des actes de pillage à grande échelle.
Les pertes financières résultant de ces troubles ont été estimées à environ 50 milliards de rands (2,9 milliards de dollars au taux de change actuel).
Duduzile Zuma Sambudla a comparu devant la Haute Cour de Durban lors du premier jour de son procès lié aux émeutes, où elle fait face à des accusations d’incitation à la violence à travers des publications sur les réseaux sociaux.
Jacob Zuma, qui a été président de 2009 à 2018 et qui conserve une base de soutien en Afrique du Sud, était présent au tribunal pour soutenir sa fille, s’asseyant aux côtés des membres de son parti politique, la Lance de la Nation.
Ce parti a joué un rôle significatif dans les élections nationales de l’année dernière, contribuant à une baisse marquée du soutien au Congrès national africain, que Zuma dirigeait auparavant.
Les émeutes de juillet 2021 en Afrique du Sud ont été déclenchées par l’arrestation de Jacob Zuma, qui a refusé de se conformer à une ordonnance judiciaire.
Ces événements ont rapidement dégénéré en violences généralisées et en pillages, causant des pertes financières considérables.
Le pays a été confronté à des défis politiques et sociaux importants, exacerbés par la pandémie de COVID-19 et les inégalités économiques persistantes.
La situation a mis en lumière les tensions au sein de la société sud-africaine et a soulevé des questions sur la gouvernance et la justice.





