Maison Blanche: L’Afrique du Sud Mine les Principes du G20

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Maison Blanche: L’Afrique du Sud Mine les Principes du G20
Maison Blanche: L’Afrique du Sud Mine les Principes du G20

CE Qu’Il Faut Savoir

La Maison Blanche a accusé l’Afrique du Sud d’utiliser sa présidence du G20 pour saper les principes fondateurs du groupe. Malgré les objections américaines, un communiqué sur le changement climatique a été adopté. Les tensions se sont intensifiées autour de la transition de la présidence vers les États-Unis en 2026.

Africa. La Maison Blanche a déclaré que l’Afrique du Sud a utilisé sa présidence du G20 comme un moyen de saper les principes fondateurs des pays du G20, après que le groupe a émis une déclaration sur le changement climatique malgré les objections américaines.

Le gouvernement américain a accusé l’Afrique du Sud de refuser de faciliter le transfert de la présidence du groupe aux États-Unis, après que le groupe a émis une déclaration sur le changement climatique malgré les objections américaines.

La porte-parole de la Maison Blanche, Anna Kelly, a déclaré que le président sud-africain Cyril Ramaphosa avait poussé à l’émission d’une déclaration pour les dirigeants du G20 concernant la crise climatique et d’autres défis mondiaux “malgré les objections américaines continues et fortes”.

Elle a ajouté que le président américain Donald Trump espérait “restaurer la légitimité du G20 lors de l’année où les États-Unis accueilleront le sommet du G20 en 2026”.

Les dirigeants du G20, qui ont été accueillis par l’Afrique du Sud, ont précédemment adopté une déclaration finale abordant la crise climatique et des défis économiques et géopolitiques, malgré le boycott des États-Unis et leur refus de participer à la rédaction du document, une démarche qualifiée de “honteuse” par un responsable de la Maison Blanche.

Consensus écrasant

Le porte-parole du président sud-africain Cyril Ramaphosa a déclaré que la déclaration “ne peut pas être renégociée”, affirmant que son pays avait travaillé toute l’année à sa rédaction et qu’il y avait un “consensus écrasant” parmi les États membres pour adopter le document, qui représente la première déclaration émise sous la présidence africaine du groupe.

Des sources bien informées ont indiqué que le projet avait été finalisé vendredi sans la participation de Washington, qui s’était opposé à des clauses concernant le changement climatique, l’élargissement de l’utilisation des énergies renouvelables et l’allègement de la dette des pays pauvres.

L’inclusion de la question climatique dans la déclaration est perçue comme un déni de la position du président américain Donald Trump, qui remet en question le consensus scientifique sur le fait que le réchauffement climatique mondial est causé par les activités humaines.

L’Argentine s’est également retirée des négociations à la dernière minute, exprimant ses réserves sur les références dans le document concernant le conflit au Moyen-Orient, qui appelait à “une paix juste, globale et durable dans les territoires palestiniens occupés.”

Le G20, qui regroupe les principales économies mondiales, a été créé pour promouvoir la coopération économique internationale. Depuis sa création, les discussions sur le changement climatique et les défis économiques ont été au cœur des préoccupations des membres. La présidence tournante du G20 permet à chaque pays d’influencer l’agenda, ce qui peut parfois entraîner des tensions, comme celles observées entre les États-Unis et l’Afrique du Sud lors de cette réunion.

L’Afrique du Sud a été la première nation africaine à présider le G20, ce qui a été perçu comme une opportunité de mettre en avant les préoccupations du continent. Cependant, les divergences sur des sujets clés, tels que le réch

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