Africa-Press – Burkina Faso. L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) au Burkina Faso a organisé une session d’information et de suivi de ses actions, le mardi 20 décembre 2022, dans ses bureaux situés au sein de l’Université Pr Joseph Ki-Zerbo, à Ouagadougou.
Déroulée par visioconférence et en présentiel, la session d’information et de suivi des actions de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) Burkina a réuni des représentants d’universités publiques comme privées et d’instituts supérieurs de formation.
Pr Rabiou Cissé, médecin-radiologiste, ancien président de l’Université Pr Joseph Ki-Zerbo, est intervenu en tant que membre du Conseil d’administration de l’AUF. Il dit avoir donné des informations sur l’AUF depuis sa création au sein de l’université Pr Joseph Ki-Zerbo jusqu’à aujourd’hui à travers les actions menées, les projets et programmes.
Les différentes activités qu’on a présentées, dit-il, concourent à améliorer la qualité de la formation, mais également la qualité de la recherche. « J’ai pris la parole pour parler de la gouvernance à travers le nouveau statut de l’AUF où nous avons plusieurs concepts tels la francophonie scientifique », a-t-il aussi fait savoir.
Deuxième session d’information et de suivi de l’AUF Burkina, il s’est agi, des dires de Théophile Ouangrawa, responsable du bureau national de l’AUF, de donner une visibilité de leurs actions au niveau national ; de porter à la connaissance de leurs institutions membres toutes les opportunités en termes de projets, de programmes qui se sont déployés et qui seront bientôt déployés.
« En termes de bilan, c’est un sentiment de satisfaction. Mais l’arbre ne doit pas cacher la forêt parce que les besoins sont immenses en termes d’attentes des étudiants et des enseignants ; en ce qui concerne l’insertion professionnelle des étudiants », a-t-il laissé entendre.
L’AUF Burkina, selon M. Ouangrawa, c’est 18 institutions membres avec cinq nouvelles adhésions en 2022. L’AUF accompagne les universités à faire face à un certain nombre de défis liés à la qualité de l’enseignement supérieur, à l’insertion professionnelle des jeunes diplômés et à la responsabilité sociétale des universités en tant qu’acteur de développement au niveau des Etats.
Tambi Serge Pacôme ZONGO
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